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Alice Challine-Bonnet se lance dans les œufs de caille

L’éleveuse Alice Challine-Bonnet, installée à Billancelles, se lance dans la commercialisation d’œufs de caille sous sa marque : les Ö d’Alice.

Le 7 novembre, à Billancelles. Alice Challine-Bonnet est la seule éleveuse de cailles pondeuses du département et distribue sa production sous la marque les «Ö d’Alice».
Le 7 novembre, à Billancelles. Alice Challine-Bonnet est la seule éleveuse de cailles pondeuses du département et distribue sa production sous la marque les «Ö d’Alice».

Il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. C’est ce que s’est dit Alice Challine-Bonnet, éleveuse de poules pondeuses de plein air à Billancelles depuis 2011, en lançant la commercialisation d’œufs de caille sous sa propre marque, dûment déposée, les « Ö d’Alice » — prononcer « œufs ».

« Je ne pouvais plus aller plus loin avec les œufs de poule », explique-t-elle. « L’idée est venue de faire quelque chose avec les œufs de caille. Il n’y a rien dans le département ». Elle achète donc deux cents cailles, les installe sur son exploitation et se lance le mois dernier, au moment des Artisanales : « et j’ai été dévalisée », constate-t-elle.

Si par rapport à un œuf de poule, celui de caille est plus petit, il est particulièrement fin et doux. Il est également paré de nombreuses vertus et la liste est longue.

D’un point de vue diététique il ne contient pas de cholestérol, est riche en vitamines, en fer et en oligo-éléments. Par ailleurs, il serait efficace contre la chute des cheveux, contre le stress, il s’avère antidiabétique, anti-inflammatoire, hypotenseur et, ce qui ne gâche rien, aphrodisiaque.

Pour le moment Alice Challine-Bonnet se lance dans la production, qu’elle apprend à maîtriser, et se garde la possibilité de l’augmenter en fonction de la demande.

Pour le moment les « Ö d’Alice » sont vendus en circuit court sur son exploitation, 4 rue de la Mairie à Billancelles, la semaine de 18h à 20h, sauf le mercredi et le samedi matin. Plus d’infos sur sa page Facebook.

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