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Floriane Sarry : « Accompagner les Cuma dans leurs projets »

Depuis le mois de février, Floriane Sarry est la nouvelle animatrice de la Fédération départementale des Cuma (FDCuma) de Loir-et-Cher. Rencontre.

Horizons : Pouvez-vous nous parler de votre parcours professionnel ?

Floriane Sarry : J’ai obtenu un BTS en agronomie production végétale en 2012, près de Poitiers (Vienne, ndlr). Pour moi, c’était une évidence de me diriger vers l’agriculture parce que je suis issue d’une famille d’exploitants agricoles. Après mes études, je voulais absolument trouver un emploi dans ce milieu et je suis très fière, et heureuse, d’avoir obtenu ce poste à la FDCuma.

Quels sont vos objectifs pour les Cuma du département ?

Pour le moment, mon but est de connaître mes Cuma sur le bout des doigts et de les accompagner dans leurs projets. À terme, j’espère maintenir le nombre de Cuma sur le territoire qui est de quatre-vingt-huit, rendre toujours plus actives ces coopératives et les amener à quelque chose de nouveau.

Une Cuma est en train de voir le jour. Pouvez-vous nous en dire davantage ?

En janvier, Stéphane Chapuis, mon prédécesseur, s’est chargé du dossier de création d’une Cuma à Soings-en-Sologne. Cette idée émane de producteurs de maïs semence qui souhaitaient avoir accès à du matériel plus performant et adapté à leur production. La constitution d’une Cuma prend environ six mois et il reste à obtenir l’agrément et à monter le dossier de subvention auprès du conseil régional pour l’achat d’une effeuilleuse. La Cuma, présidée par Benoît Auger, possède déjà un automoteur Bourgoin. À la constitution du projet, il y avait six producteurs engagés. Aujourd’hui, ils sont une vingtaine.

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