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La Maison de la Beauce tient le cap

L’assemblée générale de la Maison de la Beauce, le 5 avril à Orgères-en-Beauce, a fait état d’une structure qui a dépassé la grave crise de 2015.

Le 5 avril, à Orgères-en-Beauce. La Maison de la Beauce se porte bien mais va devoir évoluer cette année, a annoncé son président Philippe Lirochon.
Le 5 avril, à Orgères-en-Beauce. La Maison de la Beauce se porte bien mais va devoir évoluer cette année, a annoncé son président Philippe Lirochon.

L’année 2015 a marqué un tournant dans l’histoire de la Maison de la Beauce. À cette époque, sans le soutien de collectivités locales, la communauté de communes Cœur de Beauce en tête, et la réduction de sa voilure — l’équipe a été ramenée a trois personnes —, elle n’aurait pas pu continuer d’assurer sa mission de valorisation du territoire.

Aujourd’hui, la structure se porte plutôt bien.

Sa fréquentation est en hausse, ses activités pédagogiques attirent de plus en plus d’enfants — plus 25 % en 2017 —, son bilan affiche même un léger bénéfice et elle a pu recruter une personne.

C’est en tous cas ce qu’il ressort des travaux de son assemblée générale annuelle qui se sont déroulés dans ses locaux le 5 avril, sous la houlette de son président emblématique, Philippe Lirochon.

« Ce territoire mérite d’être mieux valorisé, mieux connu, afin que chacun puisse se l’approprier », a-t-il rappelé dans son rapport moral, avant de poser la question de savoir ce qu’allait devenir la Maison de la Beauce en 2018. En effet, depuis 2017, les communautés de communes ont l’obligation d’assumer une compétence tourisme.

Aussi, des choses devraient évoluer dans son statut et la structure beauceronne va devoir assoir son activité sur un plus large territoire, donc transformer en partenariats les accords de principe que les collectivités alentour lui ont donnés.

Tout ceci devrait se concrétiser en septembre, autour de la tenue d’une assemblée générale extraordinaire. Rendez-vous est pris.

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