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L’Atomium, emblème de Bruxelles

Depuis 1958, année de l’Exposition universelle, avec ses 102 m de haut, l’Atomium fait partie du paysage bruxellois

Cent-deux mètres de hauteur, neuf sphères de dix-huit mètres de diamètre recouvertes chacune par quarante-huit plaques d’aluminium et reliées par des tubes mesurant dix-huit à vingt-trois mètres.

Tels sont les grands chiffres qui caractérisent l’Atomium, monument qui s’élève au nord de Bruxelles.

L’Atomium, dont le nom est issu de la combinaison des mots atomes et aluminium, a été érigé dans le cadre de l’Exposition universelle de 1958. En représentant un atome de fer grossi cent soixante-cinq milliards de fois, les architectes ont voulu symboliser la vision optimiste du développement de la science et de économie d’après-guerre, notamment l’industrie avec la création de la communauté économique du charbon et de l’acier.

Face au succès rencontré, l’Atomium, devant initialement être exposé provisoirement, est resté en place. Aujourd’hui, c’est un des emblèmes de Bruxelles.

Restauré entre 2004 et 2006, il étincelle de nouveau dans le ciel belge.

Les visiteurs peuvent naviguer à l’intérieur des sphères où sont proposées une exposition permanente présentant le monument et des expositions temporaires.

Actuellement, les œuvres de Magritte, le plus grand peintre surréaliste belge, sont à l’honneur. Les reconstitutions de certains de ses tableaux et des explications permettent de comprendre ce que le peintre souhaitait exprimer.

Et depuis fin mars, une rétrospective fait revivre la période de l’Exposition universelle.

Enfin, dans le tube central se trouve un ascenseur — qui va à la vitesse de cinq mètres/seconde, le plus rapide au monde lors de son installation — permettant d’atteindre le sommet pour découvrir une vue panoramique sur la capitale belge.

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