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Le brie de Montereau à l’Assemblée nationale

Le brie de Montereau était à l’honneur le 4 octobre à l’assemblée nationale dans le cadre d’une opération de communication lancée par Yves Jégo.

Paris, mardi 4 octobre. 
Les collègues seine-et-marnais d’Yves Jégo, Franck Riester, qui est engagé dans une démarche d’AOP pour le coulommiers de brie et Valérie Lacroute ont participé à la dégustation.
Paris, mardi 4 octobre.
Les collègues seine-et-marnais d’Yves Jégo, Franck Riester, qui est engagé dans une démarche d’AOP pour le coulommiers de brie et Valérie Lacroute ont participé à la dégustation.

Moins connu que ses cousins de Melun et de Meaux, qui bénéficient d’une appellation d’origine protégée, le brie de Montereau retrouve sa place depuis quelques années.

La municipalité mène un important travail  pour fédérer les acteurs locaux et valoriser son brie. Une confrérie œuvre activement à sa promotion.

Créé au XIXe siècle, le brie de Montereau était surnommé le brie des moissons.

Ainsi, le mardi 4 octobre, le député-maire de la ville, Yves Jégo, a convié ses collègues parlementaires et des acteurs locaux à venir dans les salons de la questure à l’Assemblée nationale déguster du brie de Montereau en présence de Périco Légasse, ardent défenseur des terroirs français.

La dégustation était accompagnée de boissons locales - bières de la Gâtine et vin Les Sentes de Napoléon. « Parmi nos racines, il y a les fromages dont ceux de la Brie », a insisté Yves Jégo.

La renaissance du brie de Montereau, au début des années 2000, a été possible grâce à la famille Bobin, de la Société fromagère de la Brie, qui a accepté de relancer sa fabrication.

D’un diamètre de 20 cm, le brie de Montereau nécessite 9 à 10 litres de lait (contre 13 litres pour un M’lun et 25 pour un Meaux).

Aujourd’hui la société Fromagère de la Brie fabrique soixante mille tonnes de brie de Montereau.

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