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Le coup de pouce de la Safer du Centre à cinq jeunes Euréliens

La Safer du Centre a distribué le 14 novembre à Chartres, cinq chèques.

Le 14 novembre, à Chartres. À travers son fonds d’aide à l’installation, la Safer du Centre a aidé, dans la bonne humeur, cinq jeunes agriculteurs dans leurs projets.
Le 14 novembre, à Chartres. À travers son fonds d’aide à l’installation, la Safer du Centre a aidé, dans la bonne humeur, cinq jeunes agriculteurs dans leurs projets.

Dans le cadre de sa politique en faveur de l’installation, la Safer du Centre a distribué à cinq jeunes agriculteurs son fonds d’aide à l’installation, le 14 novembre à Chartres.

Du fait de son statut de société anonyme, la Safer vit de son activité et ses ressources sont aléatoires.

Comme son activité est à but non lucratif, qu’elle ne verse pas de dividendes à ses actionnaires — les OPA — elle a décidé de consacrer une partie de son résultat à l’alimentation d’un fonds d’aide aux jeunes installés, a expliqué son directeur général délégué, Pierre Marnay.

Elle rembourse donc la moitié des frais de notaire consécutifs à l’acquisition de foncier par ces jeunes avec un maximum de deux mille euros. Au total cette année, cinquante mille euros seront ainsi reversés dans la région.

En leur remettant leur chèque, le président du comité technique départemental, Etienne Foisy, leur a souhaité bonne chance dans leur projet compte tenu du contexte.

Mais celui-ci n’a pas eu l’air de les effrayer outre mesure : « Certes, ça n’a pas été la meilleure année, mais des choses mises en place ont aidé », a confié Nicolas, qui, avec l’aide de la Safer pour le foncier, réalise un rêve de gamin à travers son installation.

Pour Sylvain, qui s’installe à Saint-Bommer à la tête d’une exploitation laitière, l’aide de la Safer a été déterminante pour aider à convaincre les banques : « elles étaient un peu frileuses, ça n’a pas été facile », a-t-il confié.

De leurs côtés, Mathilde et Cédric n’auraient pas pu démarrer leur exploitation avicole bio sans l’aide de l’organisme : « en Normandie, on nous a répondu que c’était impossible, ici, avec la Safer, en un mois tout était fait ».

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