Aller au contenu principal

Les profs planchent au Coudray avec l’Aprodema

La quatorzième Université d’été organisée par l’Aprodema*, s’est déroulée du 7 au 9 juillet au centre de formation Claas academy du Coudray (Eure-et-Loir) et a réuni quatre-vingt cinq enseignants en agroéquipement, issus de toute la France.

Le 7 juillet, au Coudray (Eure-et-Loir). Plus de quatre-vingts enseignants en agroéquipement ont participé à la quatorzième université d’été de l’Aprodema.
Le 7 juillet, au Coudray (Eure-et-Loir). Plus de quatre-vingts enseignants en agroéquipement ont participé à la quatorzième université d’été de l’Aprodema.

On ne verrait pas ce genre de choses dans d’autres corps de métier. Mais dans le domaine de la formation en machinisme agricole, l’Aprodema* organise chaque année depuis quatorze ans, une université d’été qui accueille sur un site différent à chaque fois, environ quatre-vingts enseignants en agroéquipement sur une série d’ateliers animés par des techniciens de toutes les grandes marques.

Cette année, l’événement s’est déroulé du 7 au 9 juillet au sein de la Claas academy du Coudray (Eure-et-Loir).

« C’est un apport de matière pour leurs cours », explique Michel Morel, le président de l’Aprodema, « chacun participe à tous les ateliers et à la séance plénière. Nous faisons en sorte que les ateliers reposent sur des choses très concrètes et qu’ils soient animés par des techniciens de marques différentes, ce qui leur permet d’avoir plusieurs points de vue sans aucun esprit de concurrence. C’est une vraie action de retransmission de savoir », constate-t-il.

Cette année encore, il y a eu plus de demandes de participation à cette université d’été que d’offres : « Nous faisons en sorte de prendre au moins un enseignant par établissement », explique Michel Morel, « ensuite, la transmission peut se faire à l’intérieur de l’établissement ».

La plupart du temps, les stagiaires repartent avec des supports pédagogiques.

Cette année, les ateliers étaient consacrés à l’Isobus et au guidage (Kuhn, Kverneland, John Deere), à la télématique (Claas, JCB), aux ensileuses (Claas, New Holland), à la méthodologie de diagnostic (Manitou) et aux presses HD (Case, Kuhn). La séance plénière a été consacrée aux lubrifiants biodégradables et animée par Total.

*Association pour la promotion des métiers et formations de l’agroéquipement.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

S'abonner
Pour profiter de l'intégralité du contenu de notre site Internet, recevoir votre journal papier dans votre boîte aux lettres…
Houdan (Yvelines), lundi 22 septembre. De g. à d. : Benoît Breemeersch, éleveur normand adhérent à Cooperl, Bernard Rouxel, éleveur président de Cooperl et Philippe Coudray, directeur du site.
Un nouveau départ pour l'abattoir de Houdan
Repris par la coopérative Cooperl, l'abattoir de Houdan (Yvelines) a changé d'identité et, après quatre années de rénovation, s'…
Le maïs sauve sa récolte, pas ses revenus
Dans le Loiret, la campagne maïs se déroule sous de bons auspices sur le plan agronomique, notamment en irrigué. Mais pour…
Maxime Cherrier, président de la SAS Noix du Val de Loire et producteur de noix à Josnes, revient sur la saison de récolte 2025 en Loir-et-Cher.
Une récolte de noix correcte mais pas à la hauteur des espérances
Depuis la fin septembre, les producteurs de noix sont en pleine récolte en Loir-et-Cher. Celle-ci devrait durer jusqu’à la fin…
Publiez votre annonce judiciaire et légale
Le journal Horizons dispose d'une plateforme en ligne dédiée à la saisie des annonces judiciaires et légales, accessible à tous…
Du lait aux noisettes, Loïc et Alexandrine Chocat ont su se réinventer. Avec leurs enfants Benjamin et Pauline sur la ferme, et Antonin prêt à les rejoindre, l’histoire familiale continue de s’écrire.
Une famille unie par le travail et portée par la noisette
À Malleroy, à l’est du Loiret, Loïc et Alexandrine Chocat ont su faire évoluer leur ferme familiale avec courage et bon sens.…
Publicité