Aller au contenu principal

Scorsese, monsieur cinéma

La Cinémathèque française à Paris et les chaînes de télé rendent hommage à Martin Scorsese, sans doute le plus grand réalisateur des quarante dernières années.

Si jamais, là maintenant, on devait résumer le cinéma en un mot, pour ma part, je donnerais sans hésiter un nom : Martin Scorsese.

La Cinémathèque française lui rend hommage jusqu’au 14 février à Paris et sur les chaines de télé.

Et c’est bien mérité. Même s’il ne s’est jamais imaginé comme une institution, il est le cinéma.

Celui d’avant, puisqu’il est un cinéphile pétri de références. Celui d’aujourd’hui, puisque ces films sont des succès critiques et publics qui marquent l’histoire de cette art-industrie. Celui de demain, puisque de nombreux réalisateurs majeurs, comme Quentin Tarantino par exemple, reconnaissent volontiers son héritage.

Que la France, pays de naissance du cinéma, célèbre un fils d’immigrés italiens qui a fait renaître le cinéma américain est bien une façon de raconter en une image l’histoire-même du cinéma, passé en un siècle d’un divertissement de foire à un art mondial.

Bien entendu, la restrospective intégrale de ses films est exceptionnelle.

Une exposition regroupe les thèmes qui traversent son œuvre. La dernière salle porte le nom de Maestria. Et on ne voit pas ce qu’il y aurait de plus à dire.

Pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer, la chaîne Arte diffuse ses principaux films jusqu’au 26 octobre (ensuite, en rattrapage sur arte.tv ; ou en explorant le dossier inédit de cinema.arte.tv).

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

Vendredi 26 septembre, à Blois. Deux convois d'une dizaine de tracteurs chacun ont traversé les routes de la ville en opération escargot, avant de rejoindre la préfecture.
Les agriculteurs sèment leur colère devant la préfecture de Loir-et-Cher 📹
À l'appel de la FNSEA 41 et de JA Loir-et-Cher, une quarantaine d’agriculteurs ont sorti les tracteurs, vendredi 26 …
Les dégâts de sanglier sur les cultures de printemps représentent des pertes économiques considérables pour de nombreux agriculteurs.
Un premier pas pour lutter contre les sangliers en Loir-et-Cher
Après la demande formulée par la FNSEA et JA 41, une réunion avec le préfet de Loir-et-Cher s’est tenue mardi 7 octobre au…
S'abonner
Pour profiter de l'intégralité du contenu de notre site Internet, recevoir votre journal papier dans votre boîte aux lettres…
Houdan (Yvelines), lundi 22 septembre. De g. à d. : Benoît Breemeersch, éleveur normand adhérent à Cooperl, Bernard Rouxel, éleveur président de Cooperl et Philippe Coudray, directeur du site.
Un nouveau départ pour l'abattoir de Houdan
Repris par la coopérative Cooperl, l'abattoir de Houdan (Yvelines) a changé d'identité et, après quatre années de rénovation, s'…
Le maïs sauve sa récolte, pas ses revenus
Dans le Loiret, la campagne maïs se déroule sous de bons auspices sur le plan agronomique, notamment en irrigué. Mais pour…
Maxime Cherrier, président de la SAS Noix du Val de Loire et producteur de noix à Josnes, revient sur la saison de récolte 2025 en Loir-et-Cher.
Une récolte de noix correcte mais pas à la hauteur des espérances
Depuis la fin septembre, les producteurs de noix sont en pleine récolte en Loir-et-Cher. Celle-ci devrait durer jusqu’à la fin…
Publicité