Aller au contenu principal

Terra vitis veut créer du lien avec le grand public

Le 25 janvier, l’association Terra vitis Loire a organisé une réunion sur la communication : le réseau souhaite se rapprocher du grand public.

L’association Terra vitis Loire s’est réunie le 25 janvier à Saint-Georges-sur-Cher, au domaine des Pierres d’Aurèle.

Dans un premier temps, l’animatrice du réseau, Sandrine Delobel, a présenté les modifications intervenues sur le cahier des charges 2016. L’objectif de ces ajouts, suppressions ou précisions est d’harmoniser le document au niveau national. Par la même occasion, les annexes sur les règles d’utilisation des substances actives ont été mises à jour puisque certaines spécialités commerciales sont devenues des « produits phytosanitaires non utilisables » ou PPNU. 

Avec l’évolution des réglementations, Terra vitis souhaite accompagner ses adhérents. C’est pour cela qu’une enquête a été menée dans le réseau en 2015 sur l’entretien des sols : plus de la moitié des adhérents à Terra vitis Loire y ont répondu, ce qui a permis de mettre en avant leurs pratiques sur les trois dernières années (usage ou non des désherbants, désherbage en plein ou sous le cavaillon, produits commerciaux utilisés, évolution des pratiques d’entretien du sol). La journée technique 2016, organisée le 7 avril à Tigné (Maine-et-Loire), portera également sur ce thème.

Dans un second temps, Laurence Gauthier, gérante de la société Equipe de campagne qui accompagne Terra vitis, est intervenue sur le thème de la communication : « Terra vitis souhaite se rapprocher du grand public et celui-ci est connecté aux réseaux sociaux. Nous avons donc mis en place un guide sur ces outils avec des astuces pour augmenter l’impact des informations publiées. »

Un travail a déjà été fait au niveau national afin de développer la communication de Terra vitis : évolution et renforcement de l’identité visuelle, création de supports physiques (plaquettes, pochettes, kakemonos, ou encore une rue Terra vitis au salon des vins de Loire…) et déclinaison de la signature en anglais et en allemand.

A présent, il s’agit d’intensifier la présence sur les réseaux sociaux afin de pérenniser le lien avec le grand public, diffuser des informations au réseau, développer les relations de proximité…

« Ce travail permet aussi de dynamiser la communication propre de chaque viticulteur », précise Laurence Gauthier. Pour structurer cette démarche, un comité d’édition réseaux sociaux Terra vitis a été créé.

Terra vitis Loire compte un peu plus de cent adhérents (entre cent deux et cent cinq chaque année) représentant 2 750 ha. Cette signature est la seule référence reconnue d’une viticulture durable et raisonnée. Ses valeurs : respecter l’environnement et le terroir, et répondre aux attentes du consommateur.

Au niveau national, ce sont plus de cinq cents adhérents répartis sur l’ensemble des grands vignobles français.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

Vendredi 26 septembre, à Blois. Deux convois d'une dizaine de tracteurs chacun ont traversé les routes de la ville en opération escargot, avant de rejoindre la préfecture.
Les agriculteurs sèment leur colère devant la préfecture de Loir-et-Cher 📹
À l'appel de la FNSEA 41 et de JA Loir-et-Cher, une quarantaine d’agriculteurs ont sorti les tracteurs, vendredi 26 …
Les dégâts de sanglier sur les cultures de printemps représentent des pertes économiques considérables pour de nombreux agriculteurs.
Un premier pas pour lutter contre les sangliers en Loir-et-Cher
Après la demande formulée par la FNSEA et JA 41, une réunion avec le préfet de Loir-et-Cher s’est tenue mardi 7 octobre au…
S'abonner
Pour profiter de l'intégralité du contenu de notre site Internet, recevoir votre journal papier dans votre boîte aux lettres…
Houdan (Yvelines), lundi 22 septembre. De g. à d. : Benoît Breemeersch, éleveur normand adhérent à Cooperl, Bernard Rouxel, éleveur président de Cooperl et Philippe Coudray, directeur du site.
Un nouveau départ pour l'abattoir de Houdan
Repris par la coopérative Cooperl, l'abattoir de Houdan (Yvelines) a changé d'identité et, après quatre années de rénovation, s'…
Le maïs sauve sa récolte, pas ses revenus
Dans le Loiret, la campagne maïs se déroule sous de bons auspices sur le plan agronomique, notamment en irrigué. Mais pour…
Maxime Cherrier, président de la SAS Noix du Val de Loire et producteur de noix à Josnes, revient sur la saison de récolte 2025 en Loir-et-Cher.
Une récolte de noix correcte mais pas à la hauteur des espérances
Depuis la fin septembre, les producteurs de noix sont en pleine récolte en Loir-et-Cher. Celle-ci devrait durer jusqu’à la fin…
Publicité