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Un Agri campus de la Scael très fourni

Le groupe coopératif Scael a organisé, le 7 juin à Sours, la septième édition de son Agri campus sur le thème De l’agronomie au digital. Plus de cent cinquante adhérents ont répondu à cette invitation.

Le 7 juin, à Sours. Huit ateliers ont été proposés aux adhérents de la Scael pour ce 7e Agri campus, comme celui consacré aux objets connectés.
Le 7 juin, à Sours. Huit ateliers ont été proposés aux adhérents de la Scael pour ce 7e Agri campus, comme celui consacré aux objets connectés.

Huit ateliers ont été proposés aux visiteurs par le groupe coopératif Scael qui organisait le 7 juin à Sours son traditionnel Agri campus. Cette septième édition a donc repris la formule des deux précédentes avec pour thème cette année : De l’agronomie au digital.

Plus de cent cinquante adhérents ont répondu à l’invitation de leur coopérative.

Et si la proposition des organisateurs était résolument tournée vers l’agriculture de demain, cela ne les a pas empêchés de proposer une surprenante collection de variétés anciennes de blé, qui retraçait l’histoire de la céréale emblématique de la plaine, du triticum turgidum aux premiers hybrides.

Chaque agriculteur était donc invité à parcourir librement le site et à s’arrêter sur les ateliers de son choix, où chaque exposé durait environ une demi-heure.

À la fin de la journée, trois mini-conférences ont été proposées, sur l’opportunité du bio, sur la nouvelle plate-forme Sur le champ montée avec la chambre d’Agriculture, et la dernière sur l’avancée du projet d’agri-quartier sur le site de Lucé baptisé Olis.

Enfin, pour achever cette journée dans la convivialité, apéritif et grillades ont été offerts. En attendant, les exploitants ont pu enrichir leurs connaissances sur plusieurs sujets.

Ainsi, par exemple, étaient présentées des recherches menées par l’Inra et Arvalis sur la fertilisation azotée, regroupées sous l’acronyme SolInAzo. Le colza était montré sous deux aspects, les filières Diester et Fleur de colza.

Un atelier était consacré au biocontrôle, un autre au désherbage en mettant l’accent sur les leviers agronomiques. Plus loin, les exploitants pouvaient, grâce à une machine de la société Desangosse, constater l’efficacité de différentes buses selon le débit et la vitesse de pulvérisation.

Par ailleurs, a été présentée une collection variétale de blés tendres. Un atelier était dédié aux objets connectés proposés par la start-up VisioGreen. Enfin, à l’entrée du site, il y avait un atelier consacré au sol. 

Bref, de quoi bien remplir son après-midi. 

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