Aller au contenu principal

Une exposition sur le jeu à visiter en famille au Compa

Le travail de Claude Imhof, artiste percheron et créateur de jeux éducatifs, est exposé au Compa jusqu’au 2 février.

Le 29 juin, à Chartres. L’exposition du Compa sur le travail de Claude Imhof révèle qu’il n’y a pas d’âge pour s’intéresser aux jeux.
Le 29 juin, à Chartres. L’exposition du Compa sur le travail de Claude Imhof révèle qu’il n’y a pas d’âge pour s’intéresser aux jeux.

« La partie montrée témoigne de la façon dont j’ai travaillé. Mais ce travail n’aurait jamais vu le jour si je n’avais pas été papa et si je n’avais pas rencontré des instits », a expliqué Claude Imhof le 29 juin, lors du vernissage de l’exposition « Jeux en question » que le Compa consacre à son travail.

En effet, son parcours l’a amené à créer des jeux éducatifs, car on apprend et on se développe très bien en s’amusant. Il a suivi en cela la pensée de pédagogues comme Friedrich Fröbel, Pauline Kergomard ou Maria Montessori.

Le Compa montre une cinquantaine de pièces — dessins, prototypes, maquettes et jeux — qu’il a conçues tout au long de sa carrière.

Une première grande vitrine permet de découvrir l’univers du créateur, ses influences et ce qui contribue à son processus créatif. Les autres sont ensuite distribuées en quatre séquences : la motricité, la découverte de l’équilibre, la géométrie et la combinatoire.

Pour comprendre le travail de designer de Claude Imhof, certains jeux emblématiques de son travail sont présentés depuis leur état de prototype jusqu’à l’objet commercialisé.

Petits et grands prendront également plaisir à manipuler eux-même certains d’entre eux, à essayer le Wobbler ou à empiler des formes en bois. À visiter en famille donc.

L’exposition est présentée jusqu’au 2 février.

Le Compa est ouvert du mardi au vendredi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 18h ; samedi, dimanche et jours fériés de 14h à 19h (18h à partir du 2 novembre). Tarifs : adultes : 5 euros - étudiants, enseignants, seniors, groupes : 3 euros - de 6 à 18 ans : 2 euros - moins de 6 ans et scolaires : gratuit.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

Vendredi 26 septembre, à Blois. Deux convois d'une dizaine de tracteurs chacun ont traversé les routes de la ville en opération escargot, avant de rejoindre la préfecture.
Les agriculteurs sèment leur colère devant la préfecture de Loir-et-Cher 📹
À l'appel de la FNSEA 41 et de JA Loir-et-Cher, une quarantaine d’agriculteurs ont sorti les tracteurs, vendredi 26 …
Les dégâts de sanglier sur les cultures de printemps représentent des pertes économiques considérables pour de nombreux agriculteurs.
Un premier pas pour lutter contre les sangliers en Loir-et-Cher
Après la demande formulée par la FNSEA et JA 41, une réunion avec le préfet de Loir-et-Cher s’est tenue mardi 7 octobre au…
Jeudi 11 septembre, à Orsonville (Yvelines). Les agriculteurs présents lors de la réunion organisée par la Chambre ont pu comparer des variétés de sarrasin.
Vers une filière sarrasin pérenne en Eure-et-Loir ?
La chambre d'Agriculture a réuni des acteurs de la culture du sarrasin et des agriculteurs pour une demi-journée technique jeudi…
André Cellier, arboriculteur du côté de Mont-près-Chambord, connaît en ce moment une récolte bien plus mauvaise que celle de l'année précédente, en partie à cause des aléas climatiques.
Une saison compliquée pour les pommes
Les récoltes de pommes sont en cours en Loir-et-Cher et cette année 2025 est particulièrement compliquée pour certains…
Nainville-les-Roches (Essonne), mardi 23 septembre. La nouvelle préfète du département a rencontré la profession agricole dès sa prise de fonction.
La nouvelle préfète de l'Essonne rencontre les agriculteurs
En fonction depuis le 22 septembre, Fabienne Balussou, nouvelle préfète du département, a rencontré la profession agricole…
Le maïs sauve sa récolte, pas ses revenus
Dans le Loiret, la campagne maïs se déroule sous de bons auspices sur le plan agronomique, notamment en irrigué. Mais pour…
Publicité