Aller au contenu principal

Élevage
Bien-être animal : un référent dans les élevages avicoles et porcins

Un nouveau décret oblige tous les élevages avicoles et porcins à désigner un référent bien-être animal.

Un référent «	bien-être animal	» doit désormais être désigné dans chaque ­élevage de volailles et de porcs.
Un référent « bien-être animal » doit désormais être désigné dans chaque ­élevage de volailles et de porcs.
© DR

L’arrêté du 16 décembre 2021, publié au Journal officiel le 29 décembre, rend obligatoire à partir du 1er janvier 2022, pour tous les élevages porcins et avicoles, la désignation d'un référent « bien-être animal » qui est tenu de suivre une formation de sept heures, dont deux heures en distanciel.

Sont exemptées de passer cette formation les personnes titulaires depuis sept ans au maximum des diplômes, titres ou certificats enregistrés au Répertoire national des certifications professionnelles.

Cette formation est renouvelable tous les sept ans et lors du départ ou du remplacement du référent de l’élevage.

Pour être conformes, les formations labellisées bien-être animal doivent relever de l'une de ces quatre thématiques :

- Approche globale du bien-être animal ;

- Prévention de la souffrance, des blessures et de leurs conséquences ;

- Prévention et maintien de la santé des animaux ;

- Environnement de l’élevage et lien au bien-être.

La chambre d’Agriculture de région Île-de-France va proposer en 2022 des formations labellisées bien-être animal respectant les obligations légales, afin de permettre aux éleveurs de volailles et de porcs d’attester d’un référent bien-être animal dans leur élevage.

Pour en savoir plus, vous pouvez télécharger l’arrêté du 16 décembre 2021 sur le site Internet de la chambre d’Agriculture.

+ d'infos :

Pour plus de renseignements, contacter Ahcène Boukaiba, vétérinaire à la chambre d’Agriculture de région Île-de-France, au 06.86.49.96.20.
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

Jeudi 20 novembre, à Pithiviers. Dorian Sagot, président de JA 45, Sébastien Méry et Éric Delorme, respectivement président et secrétaire général de la FNSEA 45, ont encadré la mobilisation.
Feux de la colère : deux mobilisations dans le Loiret 📹
Jeudi 20 novembre, JA 45 et la FNSEA 45 ont organisé deux rassemblements simultanés à Pithiviers et près de Courtenay.…
Bernard Doussineau est trufficulteur sur une parcelle de 3,5 hectares à Villeromain depuis plus d'une quarantaine d'années.
La trufficulture résiste en Loir-et-Cher
Le mois de décembre sonne le début de la récolte des truffes. Lors de l’assemblée générale des forestiers privés de Loir-et-Cher…
Lundi 24 novembre, à Chartres. Le président de la chambre d'Agriculture, Yohann Serreau (à d.), a détaillé en session, et pour le préfet Hervé Jonathan, les éléments qui alimentent la crise agricole.
Une session plutôt sombre pour les membres de la Chambre d'Eure-et-Loir
Les membres de la chambre d'Agriculture d'Eure-et-Loir se sont réunis en session sous la houlette de leur président Yohann…
Jeudi 13 novembre, à Mont-près-Chambord. Le préfet de Loir-et-Cher, Joseph Zimet, a visité la Tonnellerie du Val de Loire.
Le métier historique de tonnelier perdure en Loir-et-Cher
La Tonnellerie du Val de Loire, l’une des dernières de la région, a ouvert ses portes au préfet de Loir-et-Cher, jeudi 13 …
Giremoutiers, lundi 1er décembre. Le président de Seine Grands lacs et de la métropole du Grand Paris, Patrick Ollier, est venu à la rencontre des agriculteurs afin de poser les problèmes et trouver des solutions.
La gestion des inondations mobilise fortement en Seine-et-Marne
Alors que la profession agricole n’a pas été concertée en amont sur des projets d’aménagement, une réunion d’échanges avec le…
Présence d'un loup en Seine-et-Marne
Un loup a été observé dans l'est du département de Seine-et-Marne ces dernières semaines. Les empreintes relevées le confirment.
Publicité