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Cheptel et changement climatique vu par le GDS

La question de la gestion sanitaire à l'aune du changement climatique a été abordée lors de l'AG de la section bovine du GDS* d'Eure-et-Loir, le 15 février à Miermaigne.

Jeudi 15 février, à Miermaigne. Clémence Ripeaux, conseillère au GDS*, a expliqué les conséquences possibles du changement climatique dans la gestion sanitaire du cheptel.
Jeudi 15 février, à Miermaigne. Clémence Ripeaux, conseillère au GDS*, a expliqué les conséquences possibles du changement climatique dans la gestion sanitaire du cheptel.
© H.C. - Horizons

Les problématiques de demain pour le cheptel compte tenu du changement climatique sont abordées en seconde partie de l'assemblée générale de la section bovine du GDS* d'Eure-et-Loir, le 15 février à Miermaigne.

Des bâtiments inadaptés

« Les hivers doux et humides peuvent créer des problèmes de santé respiratoire, des étés plus chauds risquent de favoriser les maladies vectorielles et les sécheresses estivales ont un impact sur l'alimentation et l'abreuvement des animaux », pose la conseillère du GDS, Clémence Ripeaux, en préambule de sa présentation.

Elle donne ensuite les signes du stress thermique chez les bovins (langue tirée, recherche de l'ombre, plus de temps debout, moins de rumination, baisse de l'appétit, hausse de l'abreuvement, baisse de la fertilité et de la production) et souligne que « nos bâtiments ne sont pas adaptés à la hausse des températures. La base, c'est l'aération », relève-t-elle.

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