Aller au contenu principal

Pulvérisateurs
Cuves frontales : des solutions pour tous les usages

Capable de remplacer un petit automoteur, l’association d’un pulvérisateur porté avec une cuve frontale offre d’autres atouts. La diversité des approches, selon les constructeurs, permet à l’utilisateur de trouver la solution qui convient le mieux à ses besoins.

Plutôt que d’équilibrer son tracteur avec des masses à l’avant, pourquoi ne pas porter du liquide et gagner en autonomie ? Si le passage au modèle traîné fait craindre des complications pour naviguer dans les champs, la compacité et l’agilité d’une combinaison portée ne sont-elles pas de bons arguments ? Voilà des questionnements qui poussent à envisager l’ajout d’une cuve frontale, notamment dans les régions où le parcellaire complique les manœuvres. Pour la plupart des constructeurs, coupler une cuve frontale à un pulvérisateur d’une autre marque n’offre qu’un fonctionnement en mode transport d’eau claire. « Dans tous les cas, la cuve frontale permet de gagner en autonomie et de réduire le nombre d’allers-retours entre la ferme et les champs », souligne Landry Jaglin, directeur de la société Arland. Cet avantage est notamment connu des agriculteurs équipés de cuves frontales pour l’apport d’engrais au semis ou le désherbage localisé.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

Vendredi 26 septembre, à Blois. Deux convois d'une dizaine de tracteurs chacun ont traversé les routes de la ville en opération escargot, avant de rejoindre la préfecture.
Les agriculteurs sèment leur colère devant la préfecture de Loir-et-Cher 📹
À l'appel de la FNSEA 41 et de JA Loir-et-Cher, une quarantaine d’agriculteurs ont sorti les tracteurs, vendredi 26 …
Les dégâts de sanglier sur les cultures de printemps représentent des pertes économiques considérables pour de nombreux agriculteurs.
Un premier pas pour lutter contre les sangliers en Loir-et-Cher
Après la demande formulée par la FNSEA et JA 41, une réunion avec le préfet de Loir-et-Cher s’est tenue mardi 7 octobre au…
Jeudi 11 septembre, à Orsonville (Yvelines). Les agriculteurs présents lors de la réunion organisée par la Chambre ont pu comparer des variétés de sarrasin.
Vers une filière sarrasin pérenne en Eure-et-Loir ?
La chambre d'Agriculture a réuni des acteurs de la culture du sarrasin et des agriculteurs pour une demi-journée technique jeudi…
André Cellier, arboriculteur du côté de Mont-près-Chambord, connaît en ce moment une récolte bien plus mauvaise que celle de l'année précédente, en partie à cause des aléas climatiques.
Une saison compliquée pour les pommes
Les récoltes de pommes sont en cours en Loir-et-Cher et cette année 2025 est particulièrement compliquée pour certains…
Le maïs sauve sa récolte, pas ses revenus
Dans le Loiret, la campagne maïs se déroule sous de bons auspices sur le plan agronomique, notamment en irrigué. Mais pour…
Maxime Cherrier, président de la SAS Noix du Val de Loire et producteur de noix à Josnes, revient sur la saison de récolte 2025 en Loir-et-Cher.
Une récolte de noix correcte mais pas à la hauteur des espérances
Depuis la fin septembre, les producteurs de noix sont en pleine récolte en Loir-et-Cher. Celle-ci devrait durer jusqu’à la fin…
Publicité