Gabriel Attal déambule à la Foire de Coulommiers
![Coulommiers, vendredi 22 mars. Échange avec Franck Barbier, président de Planète chanvre, sur la culture du chanvre et ses nombreux débouchés.](https://medias.reussir.fr/horizons/styles/normal_size/azblob/2024-03/Gaia_69148.jpg?itok=8Pz98Mji)
![Avec Michel Biberon, Ferme de la Bonnerie à Verdelot, producteur de cidre, jus de pomme et champagne.](https://medias.reussir.fr/horizons/styles/normal_size/azblob/2024-03/Gaia_69149.jpg?itok=yQZkOHZx)
![L'exposition de bovins, un incontournable.](https://medias.reussir.fr/horizons/styles/normal_size/azblob/2024-03/Gaia_69150.jpg?itok=Cj-BozrZ)
![Les fromages de Brie, une étape essentielle au royaume du coulommiers.](https://medias.reussir.fr/horizons/styles/normal_size/azblob/2024-03/Gaia_69151.jpg?itok=20ZByLsr)
Après une matinée dédiée à l’inauguration de la Foire internationale aux vins et aux fromages de Coulommiers (Seine-et-Marne), Franck Riester, aux côtés d’élus locaux et de Guillaume Gomez, a accueilli le Premier ministre, Gabriel Attal, vendredi 22 mars en milieu d’après-midi.
Avant de déambuler dans les allées, échanger avec les producteurs et déguster les différents produits proposés sur cette foire au bon goût du terroir, Gabriel Attal s’est entretenu avec les représentants de la profession agricole — Cyrille Milard et Samuel Vandaele, respectivement président et secrétaire général de la FDSEA 77, Maxime Liévin, président de Jeunes agriculteurs de Seine-et-Marne, et Guillaume Lefort, vice-président de la chambre d’Agriculture — alors que la profession traverse une crise profonde et que la colère gronde toujours dans les campagnes face à l’inertie et à l’absence de réponse du gouvernement. Dans un second temps, il a échangé avec Philippe Dufour, éleveur, sur le Ceta (accord commercial bilatéral de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada), au lendemain du refus de la ratification de cet accord par les sénateurs. Une décision applaudie par les éleveurs qui demandent l’instauration de clauses miroirs. En effet, cet accord ne prévoit aucune restriction pour les produits destinés au marché européen alors que les éleveurs canadiens peuvent utiliser des farines animales et des antibiotiques comme facteur de croissance, des pratiques interdites en Europe.
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