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Adventices
Gérer le datura, l'ambroisie et le tournesol sauvage

Dès l’arrivée du printemps, les adventices comme le datura, l’ambroisie à feuille d’armoise ou encore le tournesol sauvage font rage et la fiche solution 78 du Contrat de solutions propose des solutions agronomiques, tout en réduisant l’utilisation des produits phytopharmaceutiques.

Dès l’arrivée du printemps, les adventices comme le datura, l’ambroisie à feuille d’armoise ou encore le tournesol sauvage commencent à faire rage mais des solutions agronomiques existent.
Dès l’arrivée du printemps, les adventices comme le datura, l’ambroisie à feuille d’armoise ou encore le tournesol sauvage commencent à faire rage mais des solutions agronomiques existent.
© Archives Horizons

Dans les cultures de printemps, certaines adventices se montrent particulièrement compétitives et problématiques. C’est le cas de l’ambroisie à feuille d’armoise, du datura stramoine et du tournesol sauvage. Ces espèces ne se contentent pas de concurrencer les cultures en place : elles posent aussi de véritables enjeux sanitaires. Le pollen d’ambroisie est fortement allergisant, tandis que le datura est une plante toxique pour l’homme. Dans ce contexte, la gestion raisonnée de ces adventices passe par une combinaison de leviers agronomiques, comme le recommande la Fiche solution n°78 du Contrat de solutions, initiative portée par 45 partenaires du secteur agricole avec ses 110 fiches détaillant les leviers agronomiques pour réduire l’utilisation des produits phytopharmaceutiques.

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