Aller au contenu principal

Influenza aviaire : niveau de risque abaissé à «modéré»

VOLAILLES. La France passe du niveau de risque « élevé » à « modéré » au sujet de l’Influenza aviaire. Zoom sur les conséquences.

© Sophie Chatenet

Compte tenu de l’absence de nouveaux cas d’influenza aviaire hautement pathogène H5N8 dans l’avifaune sauvage sur le territoire national depuis un mois, le ministre de l’Agriculture a décidé par arrêté du 12 avril 2017, d’abaisser le niveau de risque épidémiologique à «modéré» pour l’ensemble du territoire métropolitain. Cela concerne donc la Région Centre, excepté les communes de la zone à risque particulier (zones humides de Sologne notamment).

Cela implique pour les zones à risques modérés, que la claustration des volailles (y compris gibier) et autres oiseaux captifs (ou leur protection par des filets) n’est plus obligatoire, tout comme la réduction des parcours (pour éviter la proximité des points d’eau naturels, cours d’eau ou mares).

Par ailleurs, avec l’accord préalable de la DDCSPP,  les rassemblements sont désormais autorisés, tout comme le transport et le lâcher de gibiers à plumes.

Les détenteurs amateurs (basses-cours, élevages d’agrément) et les éleveurs professionnels de volailles ou de gibiers, implantés  dans les communes situées en zone à risque particulier, doivent quant à eux  conserver les mesures de biosécurité renforcées déjà en place (mise en claustration des sujets en bâtiment fermé ou protection sous filet, le transport et le lâcher de gibier à plumes depuis ou vers un site situé dans la zone à risque particulier sont interdits).

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

Vendredi 26 septembre, à Blois. Deux convois d'une dizaine de tracteurs chacun ont traversé les routes de la ville en opération escargot, avant de rejoindre la préfecture.
Les agriculteurs sèment leur colère devant la préfecture de Loir-et-Cher 📹
À l'appel de la FNSEA 41 et de JA Loir-et-Cher, une quarantaine d’agriculteurs ont sorti les tracteurs, vendredi 26 …
Les dégâts de sanglier sur les cultures de printemps représentent des pertes économiques considérables pour de nombreux agriculteurs.
Un premier pas pour lutter contre les sangliers en Loir-et-Cher
Après la demande formulée par la FNSEA et JA 41, une réunion avec le préfet de Loir-et-Cher s’est tenue mardi 7 octobre au…
S'abonner
Pour profiter de l'intégralité du contenu de notre site Internet, recevoir votre journal papier dans votre boîte aux lettres…
Houdan (Yvelines), lundi 22 septembre. De g. à d. : Benoît Breemeersch, éleveur normand adhérent à Cooperl, Bernard Rouxel, éleveur président de Cooperl et Philippe Coudray, directeur du site.
Un nouveau départ pour l'abattoir de Houdan
Repris par la coopérative Cooperl, l'abattoir de Houdan (Yvelines) a changé d'identité et, après quatre années de rénovation, s'…
Le maïs sauve sa récolte, pas ses revenus
Dans le Loiret, la campagne maïs se déroule sous de bons auspices sur le plan agronomique, notamment en irrigué. Mais pour…
Maxime Cherrier, président de la SAS Noix du Val de Loire et producteur de noix à Josnes, revient sur la saison de récolte 2025 en Loir-et-Cher.
Une récolte de noix correcte mais pas à la hauteur des espérances
Depuis la fin septembre, les producteurs de noix sont en pleine récolte en Loir-et-Cher. Celle-ci devrait durer jusqu’à la fin…
Publicité