Aller au contenu principal

Jean-François Copé défend le brie

Jean-François Copé a visité la Société fromagère de la Brie à Siméon le 1er octobre, alors qu’il lançait sa pétition « Touche pas à nos fromages ».

Saint-Siméon, samedi 1er octobre. A l’issue de la visite des installations de la Société fromagère de la Brie, Jean-François Copé a longuement
échangé avec Pierre Bobin.
Saint-Siméon, samedi 1er octobre. A l’issue de la visite des installations de la Société fromagère de la Brie, Jean-François Copé a longuement
échangé avec Pierre Bobin.

« Nos produits sont en danger. A travers les négociations avec le Canada (Ceca) et les Etats-Unis (Tafta) sur les traités de libre-échange, certains de nos fromages risquent de passer à la trappe. Non inscrits sur la liste des Appellations d’origine protégée (AOP), ils seront banalisés », a souligné le député-maire Jean-François Copé à l’issue de sa visite le samedi 1er octobre de la Société fromagère de la brie à Saint-Siméon.

Dirigée par Pierre et Philippe Bobin, l’entreprise fabrique, chaque année, mille tonnes de fromage au lait cru, dans la pure tradition fromagère française.

« Il faut agir vite pour sauver nos fromages, nos agriculteurs, nos traditions. Arrêtons de reculer sur la défense de nos fromages et soyons fiers de la richesse de nos terroirs », a conclu Jean-François Copé  avant d’appeler à signer la pétition « Touche pas à nos fromages » qu’il a lancée sur Internet.

Dans sa grande tournée de défense des fromages français et du savoir-faire des agriculteurs et artisans du terroir, le député-maire meldois était la veille à la foire de la fourme de Montbrison (Loire).

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

Mardi 8 juillet, à Luplanté. Thibaud Guillou (à d.) montre au préfet Hervé Jonathan (au c.) le principe de fonctionnement du bassin tampon de son système d'irrigation qui lui permet de se diversifier.
Thibaud Guillou reçoit le préfet d'Eure-et-Loir pendant la moisson
En plein cœur de la moisson, le préfet d'Eure-et-Loir Hervé Jonathan s'est rendu mardi 8 juillet sur l'exploitation en…
Le député eurélien Olivier Marleix.
Le député Olivier Marleix est mort
Le monde politique est en deuil après l’annonce du décès d’Olivier Marleix, député Les Républicains d’Eure-et-Loir, survenu lundi…
Les moissons 2025 sont en cours pour Quentin Salmon, céréalier à Marolles, et elles s'annoncent agréablement surprenantes en termes de rendement.
Une moisson 2025 surprenante pour Quentin Salmon
Le bal des moissonneuses-batteuses est lancé en Loir-et-Cher depuis fin juin. Quentin Salmon, céréalier à Marolles, est…
Une tornade balaye l'Eure-et-Loir
Certains notent des similitudes entre les événements climatiques qui ont touché l'Hexagone dans la soirée du mercredi 25 …
En Île-de-France, la majeure partie des cultures ont vu le passage des moissonneuses-batteuses. L'occasion de faire un premier point des moissons.
En Île-de-France, une moisson 2025 précoce plutôt satisfaisante malgré quelques nuances
Le travail de moissonnage est bien avancé dans l'Île-de-France. Les rendements sont plutôt bons dans l'ensemble, surtout en…
Après les orages qui ont sévi mercredi 25 juin, au sein du Domaine des Brissettes, à Saint-Claude-de-Diray, Olivier Cadoux estime les pertes à au moins 50 % de la prochaine récolte.
Des orages destructeurs en Loir-et-Cher
Le département de Loir-et-Cher n’a pas été épargné par les orages. Un couloir de précipitations a tout détruit sur son passage,…
Publicité