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La filière française du bioéthanol salue le « réalisme » du Conseil et du Parlement européens

Réagissant à l’adoption de la nouvelle législation sur les biocarburants dans l’UE, la filière française du bioéthanol salue le « réalisme » du Conseil et du Parlement européens.

Cuves de stockage de bioéthanol dans une sucrerie.
Cuves de stockage de bioéthanol dans une sucrerie.
© ONU/Eskinder Debebe

« Ce vote au Parlement conforte le bien-fondé de la prise en compte des biocarburants comme l’une des alternatives renouvelables majeures au tout pétrole », explique un communiqué de la filière le 28 avril. L’introduction d’un objectif de 0,5 % de biocarburants dits avancés est jugée « raisonnable » : « Pour les filières ligno-cellulosiques, les procédés industriels destinés à ces productions sont soit en phase de développement, soit ne seront réellement opérationnels et compétitifs qu’à moyen terme. Cependant, il existe des productions de bioéthanol à base de résidus de différentes filières (sucrière, amidonnière ou vinique) qui peuvent partiellement contribuer à cet objectif. » Certains « défauts majeurs » sont pointés dans la directive. La filière lui reproche « les nouveaux artifices comptables, les comptages multiples, qui gonflent la contribution de l’électricité renouvelable à l’objectif de 10 % dans les transports » en 2020.

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