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Jean-Francois Delaitre : « La méthanisation est un métier à part entière »

Si la méthanisation agricole répond à des objectifs énergétiques de fertilisation des sols et climatiques, de nombreuses questions restent à trancher. Le point avec Jean-Francois Delaitre, président de l’AAMF*.

Dix ans après les premières injections de biométhane en direct dans le réseau, des questions restent à trancher, souligne l'agri-méthaniseur seine-et-marnais et président de l'AAMF*.
Dix ans après les premières injections de biométhane en direct dans le réseau, des questions restent à trancher, souligne l'agri-méthaniseur seine-et-marnais et président de l'AAMF*.
© L.G.-D. - Horizons

Si la méthanisation agricole est ancienne, elle s’est réellement développée en France au début des années 2000 avec des éleveurs qui ont mis en place des installations en cogénération sur le modèle allemand afin de traiter lisier, fumier et fournir de l’énergie pour les fromageries. Dans le même temps, ils ont créé l’Association des agriculteurs méthaniseurs de France (AAMF), aujourd’hui présidée par Jean-François Delaitre, polyculteur et agri-méthaniseur à Ussy-sur-Marne (Seine-et-Marne). Mais le véritable essor de la méthanisation sur le territoire français a débuté il y a dix ans à la suite d'une loi de 2011 qui permettait d’injecter du biogaz directement dans le réseau.

Ainsi, prochainement sera célébré le dixième anniversaire de la première unité d’ampleur qui a injecté en direct du gaz dans le réseau, celle de Mauritz et Jacques-Pierre Quaak à Chaumes-en-Brie (Seine-et-Marne).

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