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Social
L'Asa 28 peine à maintenir son volume d'adhérents

L'Association des salariés agricoles de l'Eure-et-Loir (Asa 28) a tenu son assemblée générale annuelle le 29 mai à Chartres.

Le 29 mai, à Chartres. Daniel Bois (au c.) a présidé sa deuxième assemblée générale de l'Association des salariés agricoles de l'Eure-et-Loir.
Le 29 mai, à Chartres. Daniel Bois (au c.) a présidé sa deuxième assemblée générale de l'Association des salariés agricoles de l'Eure-et-Loir.
© Hervé Colin

Créée en 1965 à l'initiative d'une poignée de salariés agricoles, l'Association des salariés agricoles de l'Eure-et-Loir (Asa 28, ex-Asavpa), a tenu sa 55 e assemblée générale annuelle le 29 mai, salle Mathurin-Régnier de la Maison de l'agriculture à Chartres. Dans son rapport moral, son président, Daniel Bois, a une nouvelle fois tiré la sonnette d'alarme au sujet du nombre d'adhérents qui s'établit autour d'une centaine : « Il y a toujours l'arrivée de nouveaux mais ça nous interroge car les effectifs sont en baisse sensible et continue depuis trois ans. Cette situation est difficile et représente un de nos défis pour les années qui viennent ».

 

Activités perturbées

 

Pourtant, les objectifs de l'association ont de quoi séduire les salariés. Il s'agit en effet de les accompagner dans l'évolution de leurs métiers et de les aider à progresser professionnellement et humainement, par l'information, la formation, l'accompagnement ou en favorisant les rencontres. Ce programme a néanmoins été bousculé en 2020 par la crise Covid-19. De fait, un certain nombre d'activités prévues ont été annulées, en particulier les plus conviviales…

En revanche, les finances de l'association restent solides. De quoi envisager un exercice 2021 plus complet, organisé autour d'une quinzaine d'activités techniques et de quelques rencontres conviviales. Et l'Asa a l'ambition d'augmenter le nombre d'adhérents, grâce à la mise en place d'un système de parrainage. C'est tout le mal que l'on souhaite à cette équipe qui se donne sans compter.

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