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Le centre équestre des Vieilles Ventes se distingue
Le centre équestre des Vieilles Ventes de Sorel-Moussel (Eure-et-Loir), a brillé en dressage en juillet dernier, lors du dernier championnat de France des clubs de Lamotte-Beuvron, le Generali Open.
Le centre équestre des Vieilles Ventes de Sorel-Moussel (Eure-et-Loir), a brillé en dressage en juillet dernier, lors du dernier championnat de France des clubs de Lamotte-Beuvron, le Generali Open.
En juillet dernier au Generali Open de France à Lamotte-Beuvron (Loir-et-Cher), le centre équestre des Vieilles Ventes de Sorel-Moussel (Eure-et-Loir) a fait fort pour sa quatrième participation. Engagé avec vingt-cinq cavaliers de 10 à 68 ans dans les épreuves de dressage, carrousel et hunter, le club a décroché deux titres de champion de France pour Arthur Perc et Thomas Jaton, une médaille d'or pour Zoé Calonne, un titre de vice-champion pour Arnaud Vacherot et a placé dix cavaliers sur le carré d'honneur.
Une reconnaissance
« Nous y sommes allés en étant bien préparés et ça a fonctionné, souligne Manon Lipchitz, qui porte le centre équestre avec Clémence Lesage. C'est un peu une revanche par rapport à l'an passé où nous avions fait beaucoup de carrés d'honneur mais pas de podium. C'est une reconnaissance pour les moniteurs qui forment des cavaliers capables de performer et pour le modèle que nous avons mis en place. Ça veut dire aussi que les chevaux sont bien dans leur corps et dans leur tête. Pour nous, c'est le cheval qui forme le cavalier ».
Depuis sa reprise en 2021, la structure s'est bien développée. Elle compte aujourd'hui 200 licenciés, contre une quarantaine il y a quatre ans, et une petite vingtaine de propriétaires lui confient leurs montures. « Nous commençons à avoir des cavaliers qui possèdent leurs propres chevaux ou qui les louent. Des couples se créent et nous pouvons les former ».
Équitation de qualité
Avec ces résultats, le club se classe cette année premier en dressage sur le département et la région et quatrième au niveau national. « C'est ce que nous voulions au départ, développer une équitation de qualité et respectueuse du cheval », conclut Manon Lipchitz.