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Le comice de Montoire-sur-le-Loir est sur les rails

Le comice 2015 prendra place à Montoire-sur-le-Loir dans le quartier Marescot, les 23 et 24 mai. La Société départementale d’agriculture a organisé une réunion de préparation le 5 février pour en expliquer le fonctionnement et composer les différentes commissions.

Le 5 février, à Montoire-sur-le-Loir. Habitants et élus sont venus en nombre à la réunion de préparation du comice.
Le 5 février, à Montoire-sur-le-Loir. Habitants et élus sont venus en nombre à la réunion de préparation du comice.

La Société départementale d’agriculture (SDA), présidée par Jacky Pelletier, lance les préparations du comice qui aura lieu les 23 et 24 mai à Montoire-sur-le-Loir. Une réunion avec les habitants, commerçants et élus de la commune et des alentours a été organisée le 5 février dans le quartier Marescot.

« Le comice est une fête du monde agricole avec une échelle locale et une échelle agricole départementale », explique Benoît Rousselet, animateur du comice. Cette année, trois concours départementaux seront mis en place par les syndicats des races animales. Le comice est organisé par deux structures : la SDA et la collectivité d’accueil (associations, communauté de communes, communes, mairies). La SDA s’occupe de la partie agricole, divisée en trois commissions (animaux, exposants et salariés agricoles) et le comité de pilotage prend en charge la partie festive composée de huit commissions comme les finances, le matériel et l’implantation, le parking et la signalisation, la restauration, la décoration et la communication.

« Je garde un très bon souvenir du comice d’il y a onze ans à Montoire mais depuis, cet événement a pris de l’ampleur et il faudra le prendre en compte », a noté Jacky Pelletier. Celui de 2015 sera un peu particulier puisqu’il se déroulera en ville et le même week-end que les cinquante ans de la Foire de la Pentecôte.

Un comice, c’est trois à cinq hectares d’exposition et d’animation, cent à cent cinquante stands, barnums et chapiteaux, dix à quarante salariés agricoles récompensés, entre quarante et quatre-vingt éleveurs, une centaine d’équins et bovins et de dix à vingt mille visiteurs.

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