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Le rêve du grand large

Le 6 novembre, vingt-neuf skippers sont partis en mer pour réaliser l’un de leur plus grands rêves : finir un tour du monde à la voile en solitaire.

Faire le tour du monde : beaucoup en rêvent mais peu osent franchir le pas.

Cette année, ils sont vingt-neuf à le tenter dans une course en solitaire au milieu des mers et des océans : le Vendée Globe.

Certes, ce n’est peut-être pas le voyage que tout le monde imagine. Oubliez le camping-car, les visites culturelles et les rencontres humaines.

Tout se fait sur un voilier monocoque et le plus vite possible.

Pourtant, même quand on n’a pas le pied marin, l’admiration pour ces navigateurs de talent s’impose.

Pour eux, l’appel du large est plus fort que tout. Le 6 novembre, ils ont laissé leur famille sur le ponton du port Olona des Sables-d’Olonne (Vendée) et s’en sont allés, acclamés par la foule, pour un périple de trois mois.

Ils repoussent leurs limites dans un unique but : boucler cet « Everest des mers ».

Le Vendée Globe, comme toutes courses au large, est loin d’être un long fleuve tranquille.

Le ciel en fait voir de toutes les couleurs. La mer a aussi son lot de surprises, tels les objets flottants non identifiés (Ofni), les poissons en tout genre évidemment, les vagues et les courants.

Depuis sa première édition en 1989, cette course sans escale ni assistance n’a jamais vu tous les concurrents franchir la ligne d’arrivée : 50 % d’entre eux ont dû renoncer à terminer leur tour du monde.

Quand on pense à ces skippers, seuls dans leur bateau à des milliers de kilomètres de leurs proches, on se dit qu’il en faut du courage. Car l’exploit est bien là : se dépasser pour réaliser ses rêves.

Stella

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