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Moissonneuses-batteuses
Les clés pour maîtriser les coûts à la moisson

La flambée du prix des moissonneuses-batteuses impose de bien raisonner son investissement. Location, achat neuf ou d’occasion, seul ou à plusieurs, via une Cuma ou un prestataire : à chaque système ses atouts et ses contraintes.

Le ratio puissance sur surface est un bon indicateur pour savoir si la machine est adaptée à la surface à battre.
Le ratio puissance sur surface est un bon indicateur pour savoir si la machine est adaptée à la surface à battre.
© M. Portier

Le coût moyen des chantiers de moisson repart à la hausse, sous l’effet de la complexification des assolements et de la hausse du prix des machines et du carburant. Une réalité qui justifie de se poser la question de l’organisation de ce pic de travail : faut-il renouveler l’achat seul, se mettre à plusieurs, opter pour de l’occasion, louer une machine ou faire appel à un prestataire ? Si la capacité d’investissement est déjà saturée, acheter une moissonneuse n’est peut-être pas la meilleure idée. D’autant qu’il faut parfois aussi renouveler un tracteur ou une benne. Mais à l’issue du remboursement des annuités, la machine est amortie et les coûts de battage diminueront nettement. La moissonneuse-­batteuse conserve par ailleurs une valeur résiduelle. Cela peut financer en partie son futur remplacement, ou aider à reconstituer une trésorerie, si l’on opte alors pour une location ou une prestation.

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