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Les Machines de l’île de Nantes

« Les Machines de l’île » redonnent vie depuis dix ans à d’anciens bâtiments des chantiers navals situés sur la pointe de l’île de Nantes (Loire-Atlantique).

A mi-chemin entre le monde de Jules Verne et celui de Léonard de Vinci, « Les Machines de l’île » de Nantes (Loire-Atlantique) imaginent et construisent d’étranges machines géantes et articulées, sous la houlette de Pierre Orefice et François Delarozière.

Ce dernier, fondateur de  la compagnie de théâtre de rue « La machine », dessine ces drôles de bêtes sorties de son imaginaire.

Quant aux bâtiments en acier et béton, aussi appelé nefs, qui abritaient les chantiers navals, ils retrouvent une seconde jeunesse à la croisée de l’art et de l’industrie.

Ainsi, depuis 2017, un grand éléphant sort de la galerie en acier et déambule avec cinquante passagers à son bord autour du site. D’une hauteur de douze mètres, il se compose de 48,4 tonnes d’acier et de bois. Sa carcasse métallique nécessite 2 000 litres d’huile hydraulique pour être actionnée.

Sur les quais de Loire trône le carrousel des mondes marins. D’une hauteur de vingt-cinq mètres, il se compose de trois manèges empilés représentant les fonds marins, les abysses et la surface de la mer avec des créatures et bateaux permettant de découvrir la mer sous toutes ses formes.

Enfin, la galerie des machines est consacrée au nouveau projet plongeant le visiteur dans l’imaginaire du végétal : l’arbre aux hérons qui devrait voir le jour en 2022. Une araignée géante, une chenille dont le mouvement est décomposé, une fourmi géante, un héron… sont exposés et actionnés.

Tous sont des modèles à taille réduite de la faune qui habitera cet arbre géant qui dominera la cité d’Anne de Bretagne et son fleuve du haut de ses cinquante mètres.

Un prototype de branche de l’arbre au héron est déjà visible. Rendez-vous dans cinq ans pour parcourir les branches de cet arbre métallique et végétal et embarquer pour un vol circulaire à bord d’un des hérons.

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