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L'irrigation optimisée grâce au Plan de relance
Aurélien Pichard a profité des aides du Plan de relance pour améliorer le système d'irrigation de son exploitation de Prasville (Eure-et-Loir).
Aurélien Pichard a profité des aides du Plan de relance pour améliorer le système d'irrigation de son exploitation de Prasville (Eure-et-Loir).
![Le 31 juillet, à Prasville (Eure-et-Loir). Aurélien Pichard est content de son investissement : à gauche son maïs arrosé avec un canon, à droite, la même variété arrosée avec sa rampe…](https://medias.reussir.fr/horizons/styles/normal_size/azblob/2023-11/Gaia_61908.jpg?itok=Qw9ghCgF)
![L'exploitant a investi environ 140 000 euros dans sa rampe, subventionnée à hauteur de 40 %.](https://medias.reussir.fr/horizons/styles/normal_size/azblob/2023-11/Gaia_61909.jpg?itok=ZnAtZ4ZA)
Hausse du coût de l'énergie, dont on nous dit qu'elle va perdurer, tension sur la ressource en eau... Être irrigant aujourd'hui est loin d'être une sinécure. Il existe cependant des solutions pour optimiser un système d'irrigation, moyennant quelques investissements.
Aides à l'investissement
Alors, quand le gouvernement a inclus certaines de ses solutions aux aides à l'investissement de son Plan de relance, de nombreux exploitants s'en sont emparés. À l'image d'Aurélien Pichard qui cultive quelque 300 hectares, dont une bonne partie est irrigable, à Prasville (Eure-et-Loir) en pleine Beauce.
« Sans ces aides, je ne l'aurais certainement pas fait, mais du coup j'ai investi en 2021 dans une rampe frontale d'irrigation pour le prix d'un enrouleur, témoigne-t-il. Je pense que ça va dans le sens de ce qu'il faut faire aujourd'hui. Elle remplace douze positions d'enrouleurs en cinq jours, ce qui me fait déjà gagner du temps ».