Aller au contenu principal

Stéphanie Froger, créatrice de douceurs

Stéphanie Froger a créé avec son mari à Aunay-sous-Auneau (Eure-et-Loir), en 2010, Les Macarondises. Depuis, le succès de ses créations sucrées ou salées ne se dément pas.

« La curiosité a fait que nous sommes sortis du lot »
« La curiosité a fait que nous sommes sortis du lot »

« Nous avons commencé petit mais sur de bonnes bases », raconte Stéphanie Froger. En effet, c’est dans leur pavillon qu’avec son mari, ils créent en 2010 leur petite entreprise : Les Macarondises.

Et comme son nom l’indique, elle est spécialisée dans la fabrication de macarons. « J’étais au chômage, je tournais en rond, alors j’ai dit à mon mari que c’était à moi de me lancer dans l’aventure et nous avons abandonné notre projet d’ouvrir une boulangerie-pâtisserie. À l’époque les macarons étaient à la mode, pourquoi pas faire quelque chose autour de ça, explique-t-elle. Mais ce qui nous a différenciés de la concurrence a été de proposer des macarons salés. La curiosité a fait que nous sommes sortis du lot... »

Au début, le couple travaille pour les professionnels, pâtissiers et traiteurs.

Pour se faire connaître, ils écument les salons, comme les Artisanales de Chartres, et finissent naturellement par rencontrer le grand public. Or, une fois qu’on a goûté à leurs produits, c’est très difficile d’y renoncer.

Le couple ouvre donc une petite boutique chez eux en 2014.

Puis le succès est allé grandissant, les deux entrepreneurs ont attaqué le marché de l’exportation et embauché. Du coup, ils ont fini par manquer de place. Les choses s’arrangent en 2017 quand l’entreprise s’installe dans un vaste espace à Aunay-sous-Auneau (Eure-et-Loir).

Cependant, ce qui fait le succès des macarons de Stéphanie Froger, ce n’est pas uniquement le fait que sa gamme soit complétée par une collection sucrée-salée, mais plus sûrement par la qualité de sa production : « Nous n’utilisons pas d’arômes, uniquement des matières brutes que l’on travaille. Cela permet de jouer sur la texture. Nos macarons sont de vrais desserts et non de simples biscuits. Je travaille aussi les fruits de saison en plus des classiques. Et cette semaine nous sortons notre collection automne-hiver ».

Au menu : banane-poivre de Timut, poire-éclats de marrons ou orange sanguine-amande... À quoi bon résister ?

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

Mardi 8 juillet, à Luplanté. Thibaud Guillou (à d.) montre au préfet Hervé Jonathan (au c.) le principe de fonctionnement du bassin tampon de son système d'irrigation qui lui permet de se diversifier.
Thibaud Guillou reçoit le préfet d'Eure-et-Loir pendant la moisson
En plein cœur de la moisson, le préfet d'Eure-et-Loir Hervé Jonathan s'est rendu mardi 8 juillet sur l'exploitation en…
En Île-de-France, la majeure partie des cultures ont vu le passage des moissonneuses-batteuses. L'occasion de faire un premier point des moissons.
En Île-de-France, une moisson 2025 précoce plutôt satisfaisante malgré quelques nuances
Le travail de moissonnage est bien avancé dans l'Île-de-France. Les rendements sont plutôt bons dans l'ensemble, surtout en…
Larchant, mercredi 1er juillet. L'unité de méthanisation Biogaz du plateau injecte dans le réseau depuis quelques minutes.
Le méthaniseur Biogaz du plateau injecte dans le réseau
Le méthaniseur Biogaz du plateau à Larchant a été mis en service le mercredi 1er juillet.
Le canton JA s'est attelé à la préparation de son animation la semaine dernière.
JA 45 prépare le comice de Briare
C’est au lieu-dit Rivotte, à Briare (Loiret), que la communauté de communes Berry Loire Puisaye organisera son comice samedi 2…
Les rendements 2025 s’annoncent en hausse pour l’orge, le colza et le blé tendre, mais les faibles cours du marché compromettent la rentabilité des exploitations.
Moisson : précocité record et rendements contrastés en Loiret
Dans le Loiret, la moisson 2025 s’est déroulée à un rythme inédit, avec des résultats globalement bons. Mais les prix décevants…
La Fédération des chasseurs de Loir-et-Cher a mis en place un comptage par drone au sein de la forêt de Marchenoir pour compter les grands gibiers, un dispositif inédit au sein du département.
Premier comptage de cerfs par drone sur le massif de Marchenoir
Il y a peu de temps a eu lieu un comptage de cerfs élaphes par drone à Marchenoir au sein du département de Loir-et-Cher. Cette…
Publicité