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Tuberculose bovine : la FNGDS s'insurge contre un nouveau risque de discrédit de la viande

Après la publication par le Canard Enchaîné du 25 octobre d'un article sur la tuberculose bovine et la consommation humaine, le président de la Fédération des groupements de défense sanitaire du bétail, Michel Combes, a réagi en s'insurgeant contre un nouveau risque de discrédit sur la consommation de viande.

© Sophie Bourgeois

Après la publication par le Canard Enchaîné du 25 octobre d'un article sur la tuberculose bovine et la consommation humaine, le président de la Fédération des groupements de défense sanitaire du bétail, Michel Combes, a réagi en s'insurgeant contre un nouveau risque de discrédit sur la consommation de viande.

« Nous ne remettons pas en cause le fait que 8 000 animaux ont été abattus, puis testés et analysés du fait de foyers de tuberculose bovine, mais nous dénonçons l'amalgame qui consiste à laisser entendre que tous ces animaux sont positifs ». Et de rappeler que le principe de précaution veut qu'un seul bovin tuberculeux dans un troupeau condamne, en France, l'intégralité de celui-ci. Les animaux sains, après analyse, vont dans la chaîne alimentaire. « Dans la plupart des troupeaux suspectés, pas plus d'un animal est positif ». En outre, la France « est reconnue officiellement indemne de tuberculose bovine, avec 0,01% de bovins atteints. Si les effectifs atteints étaient 8 000, la France aurait perdu instantanément son statut ! », s'est exclamé Michel Combes.

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