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Une passion tardive mais intense

Aurélien Petit a été contaminé par le virus de la musique à vingt-et-un ans. Depuis, il cherche à développer son groupe et à enregistrer un album.

Aurélien Petit a intégré le groupe Hype me en 2014. (crédits : Léa Couty)
Aurélien Petit a intégré le groupe Hype me en 2014. (crédits : Léa Couty)

La musique, Aurélien Petit n’est pas tombé dedans quand il était enfant. Adolescent, il préférait jouer au ballon ovale plutôt que gratter les cordes d’une guitare dans sa chambre. « Je n’ai pas été élevé dans la musique. J’ai suivi des études dans le commerce international, à Tours. » Pourtant, c’est bien guitariste dans un groupe de rock électronique, Hype me, qu’il a fini par être.

« Lors de ma troisième année à la faculté, quand j’avais vingt-et-un ans, je suis parti en voyage Erasmus pendant six mois, en Irlande du nord, avec Alex et Ludovic, le chanteur et le batteur du groupe », explique ce jeune homme de vingt-cinq ans. C’est dans ce pays que tout a commencé. « Un soir, on a rencontré des Irlandais qui jouaient de la musique. J’ai demandé à Ludovic de m’apprendre. » De retour en France, Aurélien a continué de jouer, prenant des cours particuliers qu’il suit encore aujourd’hui. « Ces cours me permettent de me perfectionner davantage. » Parce que oui, la musique est devenue une passion et prend de plus en plus de place dans sa vie. « J’ai été contaminé », ironise le jeune homme.

Aujourd’hui, Hype me est une formation à trois musiciens : Aurélien, le guitariste, Ludovic, le batteur et Alex, le chanteur. Tous ont un métier à côté. Commercial, ce Blésois (Loir-et-Cher), a appris à gérer passion et vie professionnelle. « Nous répétons tous les week-ends sur Châteaudun (Eure-et-Loir). » Grâce à son métier, qui demande de nombreux déplacements dans plusieurs départements, le jeune homme crée des contacts pour son groupe. « Chacun de son côté essaie d’utiliser ses compétences professionnelles pour développer le groupe. »

Le trio cherche à faire des concerts et surtout à enregistrer un album. « On s’est inscrit sur un site Internet de financement participatif. Pour le moment, nous avons récolté 50 % de la somme demandée et il nous reste encore une quinzaine de jours pour remplir le contrat. Ca serait super d’avoir un vrai CD enregistré en studio. »

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