Une sécheresse déterminante pour les maïs
Après la moisson des différentes céréales, les exploitants regardent de près l’évolution de leurs cultures de maïs. L’institut Arvalis, à travers ses ingénieurs, fait un état des lieux de cette culture.
Après la moisson des différentes céréales, les exploitants regardent de près l’évolution de leurs cultures de maïs. L’institut Arvalis, à travers ses ingénieurs, fait un état des lieux de cette culture.
![Carte des précipitations du 18 au 25 juillet en région Centre-Val de Loire.](https://medias.reussir.fr/horizons/styles/normal_size/azblob/2023-11/Gaia_50619.jpg?itok=osLLmxUD)
![Bastien Chopineau est ingénieur régional Centre chez Arvalis.](https://medias.reussir.fr/horizons/styles/normal_size/azblob/2023-11/Gaia_50626.jpg?itok=fRPkSixJ)
![Thomas Joly est animateur de la filière maïs de l'institut Arvalis et ingénieur régional Est.](https://medias.reussir.fr/horizons/styles/normal_size/azblob/2023-11/Gaia_50620.jpg?itok=UU-I7Okp)
Sur le territoire national, les cultures de maïs ont une floraison avancée « de quinze jours », précise Thomas Joly, l’animateur de la filière maïs de l’institut Arvalis. Il est donc primordial que « l’irrigation puisse être prolongée jusqu’à la fin du mois de juillet et le début du mois d’août afin que la floraison se passe correctement », détaille-t-il. « Il y a déjà eu des épisodes de forte chaleur et de sécheresse en 2003 et en 2019, il est encore trop tôt pour dire si cette année est record mais elle est compliquée, c’est certain », poursuit-il.