Aller au contenu principal

USA
Vers un étiquetage facultatif des aliments OGM

Jusqu’ici épargnés, les Etats-Unis sont désormais confrontés aux mouvements anti-OGM.

Jusqu’ici épargnés, les Etats-Unis sont désormais confrontés aux mouvements anti-OGM. A ce jour, deux Etats, le Maine et le Connecticut, ont adopté une réglementation visant à étiqueter la présence d’OGM dans les aliments. Sans effet, jusqu’à présent, cette nouvelle réglementation pourrait être imposée à l’industrie agroalimentaire si au moins quatre états, représentant au moins 20 millions de consommateurs, se prononçaient en faveur de mesures identiques. Pour éviter une généralisation de ce type d’initiative, l’Association des industries agroalimentaires travaille sur une réglementation qui s’appliquerait à tout le pays. Ainsi propose-t-elle un standard fédéral qui instituerait une notification obligatoire de la présence d’OGM dans les aliments à la Food and Drug Administration (FDA) avant leur mise en marché, ainsi qu’une directive concernant l’étiquetage volontaire. Le texte permettrait d’étiqueter « sans OGM » des aliments, dès lors que l’industriel a mis en place un programme de traçabilité le long de la chaîne alimentaire garantissant leur absence. Serait également considéré comme exempt d’OGM, le lait même s’il provient de vaches nourries avec des aliments OGM ou traitées avec des médicaments issus des biotechnologies. Surtout le projet réglementation interdirait aux Etats de promulguer des dispositions différentes de celles de la loi fédérale pour éviter des dispositions trop contraignantes.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

S'abonner
Pour profiter de l'intégralité du contenu de notre site Internet, recevoir votre journal papier dans votre boîte aux lettres…
Houdan (Yvelines), lundi 22 septembre. De g. à d. : Benoît Breemeersch, éleveur normand adhérent à Cooperl, Bernard Rouxel, éleveur président de Cooperl et Philippe Coudray, directeur du site.
Un nouveau départ pour l'abattoir de Houdan
Repris par la coopérative Cooperl, l'abattoir de Houdan (Yvelines) a changé d'identité et, après quatre années de rénovation, s'…
Le maïs sauve sa récolte, pas ses revenus
Dans le Loiret, la campagne maïs se déroule sous de bons auspices sur le plan agronomique, notamment en irrigué. Mais pour…
Maxime Cherrier, président de la SAS Noix du Val de Loire et producteur de noix à Josnes, revient sur la saison de récolte 2025 en Loir-et-Cher.
Une récolte de noix correcte mais pas à la hauteur des espérances
Depuis la fin septembre, les producteurs de noix sont en pleine récolte en Loir-et-Cher. Celle-ci devrait durer jusqu’à la fin…
Publiez votre annonce judiciaire et légale
Le journal Horizons dispose d'une plateforme en ligne dédiée à la saisie des annonces judiciaires et légales, accessible à tous…
Du lait aux noisettes, Loïc et Alexandrine Chocat ont su se réinventer. Avec leurs enfants Benjamin et Pauline sur la ferme, et Antonin prêt à les rejoindre, l’histoire familiale continue de s’écrire.
Une famille unie par le travail et portée par la noisette
À Malleroy, à l’est du Loiret, Loïc et Alexandrine Chocat ont su faire évoluer leur ferme familiale avec courage et bon sens.…
Publicité