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VIVEA lance un appel à innovation pour faire évoluer les modalités de formation

Les Technologies de l’information et de la communication (Tic) sont entrées dans le monde agricole, les agriculteurs les utilisent au quotidien.

© © AA

La révolution digitale en agriculture est en cours depuis les années 2000. De nombreuses applications logicielles émergent aujourd’hui dans le secteur agricole permettant un gain de temps et du confort dans les exploitations et une optimisation économique.

• 85% des agrinautes utilisent internet tous les jours pour les besoins de leur exploitation (BVA)

• 70% des agrinautes installent des applications professionnelles sur leurs mobiles

En 2013, 32% des moins de 30 ans et 17% des chefs d’entreprise agricole et leurs conjoints ont bénéficié d’une formation financée par VIVEA, majoritairement en présentiel. Les modes de transmission du savoir et de la connaissance changent et la réforme de la formation professionnelle 2014 permet désormais de financer, sous certaines conditions, des formations à distance, plus adaptées aux nouvelles générations, aux pratiques et aux modes de vie des agriculteurs.

VIVEA souhaite réfléchir à ces nouvelles modalités de formation et l’a inscrit dans son plan stratégique triennal 2013-2015. En 2014 un premier cahier des charges, à destination des organismes de formation, pour développer les formations à l’usage Tic a été publié. Aujourd’hui, VIVEA va plus loin en lançant un cahier des charges pour encourager la mise en place de formations innovantes dans leurs modalités pédagogiques. A l’heure du succès croissant des Mooc (formation en ligne ouverte à tous), les agriculteurs pourront ainsi utiliser des outils modernes et collaboratifs en formation.

Christiane LAMBERT, Présidente de VIVEA : «Quand je vois les plus jeunes qui sont nés avec l’informatique, je me dis que la formation classique en présentiel, très majoritaire dans le secteur agricole, risque d’être moins attractive pour eux. Les Tic ne sont pas une fin, ni un gadget, mais bien un moyen de réfléchir aux évolutions des modalités de formations nécessaires pour rendre plus attractive et efficace la formation continue dans le secteur agricole.»

 

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