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Pommes de terre
Adapter ses couverts d’interculture pour réduire les coûts de production

Hausse des coûts du gazole et de l’azote sont les problématiques du moment, y compris en culture de pommes de terre. Un couvert d’interculture approprié pourrait permettre de réduire ces charges. Le négoce Groupe Carré mène des essais sur ce sujet au lycée agricole du Paraclet, dans la Somme.

Grâce aux couverts, David Boucher espère pouvoir faire l’impasse sur le labour avant la plantation des pommes de terre au printemps.
Grâce aux couverts, David Boucher espère pouvoir faire l’impasse sur le labour avant la plantation des pommes de terre au printemps.
© A. P.

Que cherche-t-on avant une culture de pommes de terre fécule ? « Réduire le risque de nématode, de rhizoctone, et obtenir une belle structure pour réduire les coûts derrière », présente David Boucher, coach en agronomie au Groupe Carré. Le 22 novembre, le négoce invitait agriculteurs et étudiants à visiter la plateforme d’essais de couverts d’interculture installée au lycée agricole du Paraclet, à Cottenchy (Somme). « Les prix du gazole et de l’azote font partie des problématiques de moment. On aimerait pouvoir réduire ces coûts, avec un apport d’azote grâce aux plantes et un objectif de non-­labour. » Cette charge de mécanisation est estimée à 80 euros/hectare. « Si on peut s’en passer, c’est parfait. Mais chaque parcelle est un cas à part », prévient-il.

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