Viticulture
AOC touraine : réfléchir aux outils collectifs
Face à un contexte incertain, et si les outils collectifs, comme les organisations de producteurs, devenaient des leviers pour stabiliser les marchés et renforcer la résilience de la filière ? Le débat a eu lieu lors de l'assemblée générale de l’ODG Touraine, le 8 juillet à Montrichard (Loir-et-Cher).
Face à un contexte incertain, et si les outils collectifs, comme les organisations de producteurs, devenaient des leviers pour stabiliser les marchés et renforcer la résilience de la filière ? Le débat a eu lieu lors de l'assemblée générale de l’ODG Touraine, le 8 juillet à Montrichard (Loir-et-Cher).

Mardi 8 juillet à Montrichard (Loir-et-Cher), Lionel Gosseaume a ouvert l’assemblée générale de l’ODG Touraine, qu’il préside, en balayant les éléments de conjoncture peu engageants : déconsommation de vin, turbulences géopolitiques, aléas climatiques… « Mais je reste optimiste !, s’est-il empressé d’enchaîner. Parce que ce n’est pas la première crise que traverse la filière viticole, que nous avons la chance de produire du blanc et des bulles dont les marchés restent fermes, que notre foncier reste accessible pour des repreneurs, et que notre modèle de viticulture familiale est très résilient. »
L’organisme de défense et de gestion affiche un résultat d’exploitation de plus de 150 000 euros, une situation qui aidera à absorber la récolte 2025 qui s’annonce plutôt faible.