Aller au contenu principal

Enseignement
Les effectifs de l'enseignement agricole en hausse

© AdobeStock / illustration

Entre 2019 et 2024, les effectifs de l’enseignement agricole en France ont progressé de 6 %, soit 12 000 apprenants supplémentaires. Cette année 215 070 apprenants suivent une formation agricole, de la 4e aux diplômes d'ingénieur et de vétérinaire, un niveau jamais atteint depuis dix ans. Le renouvellement des générations est en marche avec une croissance continue des effectifs.

+ 49 % d'apprentis

Les apprentis connaissent une hausse particulièrement importante : + 49 % depuis 2019. Cette voie de formation permet aux jeunes de se former à un métier, d’obtenir un diplôme, tout en étant rémunérés.

L’enseignement agricole forme les citoyens et professionnels de demain sur la question des transitions agroécologique et climatique. Au sein des établissements, les exploitations, les ateliers technologiques et les nombreux projets de terrain permettent aux jeunes d’expérimenter des outils et des méthodes et de rencontrer les acteurs du territoire, partenaires de leurs futures activités. Ainsi formés, ils seront en capacité d’apporter des réponses pragmatiques aux défis de demain.

Lire aussi Parcoursup : plus de 30 000 places à pourvoir dans l’enseignement agricole

L'agriculture d'aujourd'hui

Pilotage informatisé et climatique des serres, parcelles agrivoltaïques, traitement des champs guidé par GPS, entretien et maintenance du matériel, diagnostic anticipé des risques… L'agriculture d’aujourd’hui mobilise des compétences techniques, scientifiques et comportementales variées qui vont de la gestion d’une exploitation à l’entretien du matériel en passant par le conseil, le travail en équipe et la prise en compte des transitions agroécologiques. Avec une offre de formation complète, dès la 4e, couplée à un apprentissage par l'expérience, l’enseignement agricole forme les agriculteurs de demain.

Cet article fait partie d'un dossier Enseignement

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

Mardi 8 juillet, à Luplanté. Thibaud Guillou (à d.) montre au préfet Hervé Jonathan (au c.) le principe de fonctionnement du bassin tampon de son système d'irrigation qui lui permet de se diversifier.
Thibaud Guillou reçoit le préfet d'Eure-et-Loir pendant la moisson
En plein cœur de la moisson, le préfet d'Eure-et-Loir Hervé Jonathan s'est rendu mardi 8 juillet sur l'exploitation en…
Le député eurélien Olivier Marleix.
Le député Olivier Marleix est mort
Le monde politique est en deuil après l’annonce du décès d’Olivier Marleix, député Les Républicains d’Eure-et-Loir, survenu lundi…
Une tornade balaye l'Eure-et-Loir
Certains notent des similitudes entre les événements climatiques qui ont touché l'Hexagone dans la soirée du mercredi 25 …
En Île-de-France, la majeure partie des cultures ont vu le passage des moissonneuses-batteuses. L'occasion de faire un premier point des moissons.
En Île-de-France, une moisson 2025 précoce plutôt satisfaisante malgré quelques nuances
Le travail de moissonnage est bien avancé dans l'Île-de-France. Les rendements sont plutôt bons dans l'ensemble, surtout en…
Les rendements 2025 s’annoncent en hausse pour l’orge, le colza et le blé tendre, mais les faibles cours du marché compromettent la rentabilité des exploitations.
Moisson : précocité record et rendements contrastés en Loiret
Dans le Loiret, la moisson 2025 s’est déroulée à un rythme inédit, avec des résultats globalement bons. Mais les prix décevants…
Mardi 1er juillet, à Brou. Excellence oblige, la rectitude de chaque vis à grain est contrôlée avant de sortir des ateliers de la société Denis.
Denis : 170 ans d'innovations au service du grain 📹
La société Denis a célébré, le 1er juillet à Brou (Eure-et-Loir), ses 170 premières années d'existence au service de la…
Publicité