Aller au contenu principal

Juridique
Zoom sur le congé pour enfant malade

Le congé pour enfant malade est un droit accessible à tous les salariés sous certaines conditions. Le point.

Enfant malade.
Tout salarié, quel que soit son statut ou son ancienneté, peut demander un congé pour s’occuper d’un enfant malade ou accidenté âgé de moins de 16 ans.
© AdobeStock / illustration

Tout salarié, quel que soit son statut ou son ancienneté, peut demander un congé pour s’occuper d’un enfant malade ou accidenté âgé de moins de 16 ans. Pour en bénéficier, il doit fournir à son employeur un certificat médical justifiant de l’état de santé de l’enfant.

Un congé encadré mais non opposable par l’employeur

Ce droit, prévu par le Code du travail, ne peut être refusé par l’employeur dès lors que les conditions sont remplies et les justificatifs présentés. L’objectif est de permettre aux parents de faire face à des situations d’urgence sans mettre en péril leur emploi.

Durée maximale variable selon la situation familiale

La durée du congé pour enfant malade est limitée à trois jours par an. Toutefois, cette durée peut être portée à cinq jours si l’enfant a moins d’1 an ou si le salarié a au moins trois enfants à charge.

Pas de rémunération prévue

Dans le secteur de la production agricole et des Cuma, la convention collective ne prévoit aucune rémunération pour ce type de congé. Il n’ouvre pas non plus droit à une indemnisation par la MSA (Mutualité sociale agricole).

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Horizons

Les plus lus

Jeudi 20 novembre, à Pithiviers. Dorian Sagot, président de JA 45, Sébastien Méry et Éric Delorme, respectivement président et secrétaire général de la FNSEA 45, ont encadré la mobilisation.
Feux de la colère : deux mobilisations dans le Loiret 📹
Jeudi 20 novembre, JA 45 et la FNSEA 45 ont organisé deux rassemblements simultanés à Pithiviers et près de Courtenay.…
Bernard Doussineau est trufficulteur sur une parcelle de 3,5 hectares à Villeromain depuis plus d'une quarantaine d'années.
La trufficulture résiste en Loir-et-Cher
Le mois de décembre sonne le début de la récolte des truffes. Lors de l’assemblée générale des forestiers privés de Loir-et-Cher…
Jeudi 13 novembre, à Mont-près-Chambord. Le préfet de Loir-et-Cher, Joseph Zimet, a visité la Tonnellerie du Val de Loire.
Le métier historique de tonnelier perdure en Loir-et-Cher
La Tonnellerie du Val de Loire, l’une des dernières de la région, a ouvert ses portes au préfet de Loir-et-Cher, jeudi 13 …
Lundi 24 novembre, à Chartres. Le président de la chambre d'Agriculture, Yohann Serreau (à d.), a détaillé en session, et pour le préfet Hervé Jonathan, les éléments qui alimentent la crise agricole.
Une session plutôt sombre pour les membres de la Chambre d'Eure-et-Loir
Les membres de la chambre d'Agriculture d'Eure-et-Loir se sont réunis en session sous la houlette de leur président Yohann…
S'abonner
Pour profiter de l'intégralité du contenu de notre site Internet, recevoir votre journal papier dans votre boîte aux lettres…
Giremoutiers, lundi 1er décembre. Le président de Seine Grands lacs et de la métropole du Grand Paris, Patrick Ollier, est venu à la rencontre des agriculteurs afin de poser les problèmes et trouver des solutions.
La gestion des inondations mobilise fortement en Seine-et-Marne
Alors que la profession agricole n’a pas été concertée en amont sur des projets d’aménagement, une réunion d’échanges avec le…
Publicité